Le coin lecture
je veux écrire ce matin sur ce livre que j’ai raté à sa sortie, maintenant qu’il m’a brûlé les mains, la tête, le ventre…
je veux écrire ce matin sur ce livre que j’ai raté à sa sortie, maintenant qu’il m’a brûlé les mains, la tête, le ventre…
Lecture d’extraits.
Lecture d’extraits par les écrivaines et poétesses, Françoise Renaud, Milène Tournier, Caroline Diaz, Nathalie Holt, Louise Holt Bouillon. Leurs voix à nouveau qu’elles m’avaient déjà prêtées pour les vidéos de mon projet « le nom qu’on leur a donné… Résidences secondaires d’une station balnéaire de la Manche ». GRATITUDE. Parce qu’en plus de leurs voix, que j’aime,…
Hors série de circonstance. J’ai fait un rêve étrange cette nuit, celle de Noël. Une amie dont au réveil j’ignore l’identité, à qui même ressemblait-elle, à Véronique, à Christiane ou à Martine, – que toutes les trois je ne vois plus, des amies précieuses en tout cas et celle du rêve était de celles-là, une…
Cécile a tout pour écrire, l’histoire, les prénoms, le secret. Il n’y a plus qu’à remplir. Elle peut partir de sa tristesse, mais on devrait plutôt parler de dévastation. Quels mots avait employés le coach au juste ? Quelles questions lui avait-il posées ? Étranges, si on y repense. Étiez-vous heureuse avant ?
Il se demandait comment était né son projet à elle, la photographe dont il ne trouvait pas trace hormis ceci, ces quelques photos restreintes au nom qu’avaient reçu les résidences secondaires de la station balnéaire, photos qu’il finirait par user irrémédiablement à force de les passer en revue l’une après l’autre dans l’espoir de distinguer un détail qui le mettrait sur sa piste, à force de les sortir de la poche intérieure de sa veste parka chaque soir en rentrant et de les y remettre chaque matin comme un talisman dont il serait imprudent de se séparer. Comme on vérifie qu’on a bien ses clés avant de claquer la porte,
Blanche, dit-on, de la nuit sans sommeil. De la même couleur que la page de l’écriture qui se refuse. Dans le cadran de la nuit, les aiguilles ont disparu. Un cri comme flèche trouant les ténèbres. Maman. Refuge ultime, rempart imaginaire, l’appeler encore au-delà de l’âge, quand raison perdue, Maman.
Elvis à la radio de Sabine Huynh et Averses de Nathalie Holt
Aujourd’hui le hasard réunit trois livres que rien ne relie
Quel joli titre ! Ainsi donc elles sortent de l’anonymat. Vont-elles y perdre quelque chose ? Un peu de leur mystère ? Sans doute pas. A vous de voir. Et si chacun.e de nous en connaissait au moins une, quelque part ailleurs, à porter un de ces noms, le même… Le nom qu’on leur a…