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Blanche, dit-on, de la nuit sans sommeil. De la même couleur que la page de l’écriture qui se refuse. Dans le cadran de la nuit, les aiguilles ont disparu. Un cri comme flèche trouant les ténèbres. Maman. Refuge ultime, rempart imaginaire, l’appeler encore au-delà de l’âge, quand raison perdue, Maman.
25 Dans le vent (2ème partie)
Le nom qu’on leur a donné… Résidences secondaires (suite). Ma propre voix une fois encore. Retrouver mes articles, audios et vidéos : Articles sur le blog – L’impermanence des traces (annedejardin.com) Vous pouvez aussi vous abonner à ma chaîne YouTube : (229) anne dejardin – YouTube
je ne sais si mon commentaire t’a été envoyé car mon système à hoqueté… bonne journée
RI
Je n’ai que celui-ci. Mais merci grand d’être passée, Raymonde.
J’ai adoré ce texte de la Vioelouière… ta vie ne semble pas loin.
Et puis le broder, tellement délicat.
A bientôt.
R.
Merci fort de la délicatesse de tes mots, chère Raymonde.