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31 Ce qu’il se demandait à son propos, La Passagère.
Il se demandait comment était né son projet à elle, la photographe dont il ne trouvait pas trace hormis ceci, ces quelques photos restreintes au nom qu’avaient reçu les résidences secondaires de la station balnéaire, photos qu’il finirait par user irrémédiablement à force de les passer en revue l’une après l’autre dans l’espoir de distinguer un détail qui le mettrait sur sa piste, à force de les sortir de la poche intérieure de sa veste parka chaque soir en rentrant et de les y remettre chaque matin comme un talisman dont il serait imprudent de se séparer. Comme on vérifie qu’on a bien ses clés avant de claquer la porte,

#12 bis La passagère (avec la vidéo, c’est mieux !)
Cécile a tout pour écrire, l’histoire, les prénoms, le secret. Il n’y a plus qu’à remplir. Elle peut partir de sa tristesse, mais on devrait plutôt parler de dévastation. Quels mots avait employés le coach au juste ? Quelles questions lui avait-il posées ? Étranges, si on y repense. Étiez-vous heureuse avant ?

26 Les Marguerites
De part et d’autres de la haie qui borde la villa « Les Marguerites », des voix… Merci à Claude Bajela, Grégoire Saillard, Julie Biondo, Arielle N’Diaye, Clément Royer, Johanie Saguerre, Annick Taylor, Françoise Métras, Marc Esposito, Nathalie Bokassa. Merci pour vos likes, vos commentaires, vos abonnements à ma chaîne ou à mon blog.

16 Villa Mathilde
Le nom qu’on leur a donné… Résidences secondaires d’une station balnéaire de la Manche (suite). Pour chaque nom de villa, un texte. Ici le texte « Villa Mathilde » est porté par la voix de l’écrivaine, Françoise Renaud, https://francoiserenaud.com.

17 Le nid
Le nom qu’on leur a donné… Résidences secondaires d’une station balnéaire de la Manche (suite). Pour chaque nom de villa, un texte.

30 L’adresse
Le nom qu’on leur a donné… Résidences secondaires (suite). Voix de l’écrivaine, Juliette Cortese :
je ne sais si mon commentaire t’a été envoyé car mon système à hoqueté… bonne journée
RI
Je n’ai que celui-ci. Mais merci grand d’être passée, Raymonde.
J’ai adoré ce texte de la Vioelouière… ta vie ne semble pas loin.
Et puis le broder, tellement délicat.
A bientôt.
R.
Merci fort de la délicatesse de tes mots, chère Raymonde.